dimanche 13 avril 2014

Chant Lyrique - Printemps 2014


Lien d'écoute à venir



Nocturne de Guy Ropartz (1864-1955)

Pavane de Gabriel Fauré (1845-1924)

Madrigal de Jean Roger-Ducasse (1873-1954)

L'adieu des bergers à la sainte famille

Le ballet des ombres 

La mort d'Ophélie de Hector Berlioz ( 1803-1969



Trois morceaux en forme de poire (extraits) d'Eric Satie (1866-1925)


Sécheresses de Francis Poulenc (1899-1963)

- 1. Les sauterelles

- 2. Le village abandonné

- 3. Le faux avenir

- 4. Le squelette de la mer






Ondine et Jonas, spectacle pour jeunes enfants, théâtre de silhouettes en carton animés, en collaboration avec J-P Boin

















jeudi 26 décembre 2013

Chant lyrique — Noël 2013



20131214_215219_resizedMagie dans l’air et miracle dans l’art. A l’occasion du concert de Noël donné à Saint-Pierre-du-Martoi d’Orléans , orchestre choeur et solistes suscitent les rappels.
Grande oeuvre et magistrale interprétation. D’une intensité à couper le souffle du public et à lui faire renoncer à ses applaudissements tant l’occasion se présenterait de saluer, au fil de ce long concert d’un seul tenant, les solistes autant vocaux qu’instrumentistes. Nul n’osera cependant briser l’inspiration, le charme et le sacré. A n’en pas douter, ce samedi, en l’église Saint-Pierre du Martroi, dont l’acoustique admirable a été apprivoisée au fil des répétitions, il y a de la magie dans l’air, voire du miracle dans l’art.
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Marius Stieghorst et l’Orchestre d’Orléans.
Impossible de ne pas saluer la haute et fascinante comme souriante présence de la soprano Frédérique Varda, la délicatesse toute en tendresse chatoyante de la mezzo soprano Claire Peron, la jolie lumière de la voix de Corentin Backès, le puissant comme infaillible et solide engagement de Romain Champion, autre ténor qui s’engage dans des dialogues avec l’orchestre de toute beauté. Remarquable est son duo avec Christine Asso au cor anglais, artiste dont on mesure une fois encore l’assurance d’une musicalité où la technique sans faille le dispute à la sensibilité des plus vives.
Impossible encore de ne pas succomber, non plus, à ce charme colossal et limpide de François Lis, si talentueuse basse, artiste faisant montre d’un bonheur radieux de se retrouver au coeur de l’orchestre et d’échanger un peu de belle âme avec ce magnifique clarinettiste qu’est François Gillardot, tout en écoute et tout en chant. Cette très grande classe qui nous comble est du reste saluée avec humilité par le chanteur. Avouons-le, le climat musical que tous les deux font naître dans une église comble n’est qu’un simple moment de bonheur.

Un opéra d’émotion

Un opéra d’émotions que l’on doit aussi au choeur, à l’Orchestre, et au souffle du chef.
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Frédérique Varda et Claire Peron,
Mais bien entendu, ces précieux et célestes cristaux qui scintillent dans la nuit d’un concert de Noël ne sont pas les seuls atours du concert. En effet, cette « Messa di Gloria » de Rossini puise aussi toute sa beauté dans ce choeur préparé par Elisabeth Renault. Kyrie, Qui tollis peccata mundi; Cum sancto spiritu lui permettent de donner toute sa mesure avec puissance, intériorité, étranges jeu d’ondes subtilement mêlées. C’est éloquent, mystérieux et spatial. Quant à l’orchestre, les cordes sont d’une musicalité et d’une précision limpide , la note vibre sous l’archet à fleur de sens, et le pizzicato d’ensemble, défit technique, est d’une précision sonore émouvante. Côté petite harmonie, ravissement. Côté cuivres, le timbre des instruments naturels enchante sans faille l’ensemble. Impeccable percussion.
Des rappels amplement mérités.
Des rappels amplement mérités.
Et puis voilà à quoi tout cela tient. A Marius Stieghorst. A ce ce chef vers lequel se tournent sans cesse les musiciens tout ouïe dans les répétitions et tout regard dans le concert. A l’évidence, Marius Stieghorst, invité par Jean-Jacques Kantorow, directeur artistique et chef titulaire de cet orchestre, aime cet ensemble dans lequel il se fond lui aussi pour communiquer, avec ferveur, fièvre et passion, précision, toute l’âme d’une juste interprétation partagée. Passionnant est cet orchestre qui n’en finit pas d’embellir.
Jean-Dominique Burtin.

Concert du Chœur Symphonique d'Orléans le 7 décembre 2013
La sécheresse de Francis Poulenc



lundi 2 décembre 2013

le Manège Obstiné des lucioles à l'Atelier Sésame

Dans le cadre de Plan B Bis, une représentation du Manège Obstiné des Lucioles a été donnée à l'Atelier Sésame le 23 novembre 3 rue de l'écu d'or à Orléans. Voici quelques images de cette soirée.




dimanche 10 novembre 2013

Le dernier contingent — Théâtre de la Tête Noire

Roman d'Alain Julien Rudefoucauld mis en jeu par Patrice Douchet 
Spectacle performance de 15h en présence de l'auteur
49 comédiens
Théâtre de la Tête Noire à Saran




samedi 3 novembre 2012

LE MANÈGE OBSTINÉ DES LUCIOLES

Spectacle d'ombres et de lumière
créé et interprété par Marion SAUTREAU et Jean-Philippe BOIN (2011)